Effet de rattrapage au mois de févrierEffet de rattrapage au mois de février
Les indices BBGI-EthicalQuote ont quant à eux nettement surperformé les indices SMI et SPI au mois de février, profitant notamment de leur exposition plus importante au segment des capitalisations de taille moyenne, qui gagnaient +10,77% sur le mois. Les indices composés de 20, 40 et 60 titres enregistraient ainsi respectivement +8,91%, +9,61% et +9,79% sur la période. (…) Février fut un mois éprouvant pour la réputation Environnement, Social, Gouvernance (ESG) des sociétés suisses, qui n’ont enregistré que 30% d’informations à tonalité positive (contre 70% de négatives), alors que le benchmark international se situait à 45% de positives. Une fois n’est pas coutume, les banques ont largement contribué à ce résultat défavorable: nouvelle enquàªte américaine visant UBS pour facilitation d’évasion fiscale à travers des produits obligataires, mise en examen de cette banque en France pour blanchiment aggravé de fraude fiscale, mention de Credit Suisse dans des enquàªte relatives au recrutement de cadres et à la corruption en Chine, ainsi qu’à la manipulation du marché des métaux précieux, tandis que les intentions de Julius Baer de supprimer 200 emplois faisaient grincer quelques dents. Malheureusement, ce volume d’informations négatives a eu tendance à occulter les nouvelles positives relatives aux banques; ainsi, on apprenait qu’UBS soutient le spécialiste britannique de l’impact investing Resonance qui développe les fonds Social Investment Tax Relief (SITR); ces véhicules permettent d’investir dans des entreprises locales actives sur le front de la création d’emploi, de la formation continue, de la santé et du bien-àªtre, ainsi que de la réinsertion des personnes ayant eu affaire à la justice (on ignore pour l’heure si les criminels en col blanc pourront bénéficier de ce type de mesures d’accompagnement). Suite…
Publication by Covalence & BBGI Group | Source: L’Agefi
Les indices BBGI-EthicalQuote ont quant à eux nettement surperformé les indices SMI et SPI au mois de février, profitant notamment de leur exposition plus importante au segment des capitalisations de taille moyenne, qui gagnaient +10,77% sur le mois. Les indices composés de 20, 40 et 60 titres enregistraient ainsi respectivement +8,91%, +9,61% et +9,79% sur la période. (…) Février fut un mois éprouvant pour la réputation Environnement, Social, Gouvernance (ESG) des sociétés suisses, qui n’ont enregistré que 30% d’informations à tonalité positive (contre 70% de négatives), alors que le benchmark international se situait à 45% de positives. Une fois n’est pas coutume, les banques ont largement contribué à ce résultat défavorable: nouvelle enquàªte américaine visant UBS pour facilitation d’évasion fiscale à travers des produits obligataires, mise en examen de cette banque en France pour blanchiment aggravé de fraude fiscale, mention de Credit Suisse dans des enquàªte relatives au recrutement de cadres et à la corruption en Chine, ainsi qu’à la manipulation du marché des métaux précieux, tandis que les intentions de Julius Baer de supprimer 200 emplois faisaient grincer quelques dents. Malheureusement, ce volume d’informations négatives a eu tendance à occulter les nouvelles positives relatives aux banques; ainsi, on apprenait qu’UBS soutient le spécialiste britannique de l’impact investing Resonance qui développe les fonds Social Investment Tax Relief (SITR); ces véhicules permettent d’investir dans des entreprises locales actives sur le front de la création d’emploi, de la formation continue, de la santé et du bien-àªtre, ainsi que de la réinsertion des personnes ayant eu affaire à la justice (on ignore pour l’heure si les criminels en col blanc pourront bénéficier de ce type de mesures d’accompagnement). Suite…
Publication by Covalence & BBGI Group | Source: L’Agefi
