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Avancer entre bluff, illusion et abstention

Greenwashing et finance – Partie 4: la diversité des approches d’investissement durable requiert transparence, formation et profilage des clients.

Depuis la création des Principes pour l’Investissement Responsable (PRI) en 2006, la notion de finance durable a été adoptée par une frange importante des investisseurs institutionnels et des gérants d’actifs. Les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) sont devenus monnaie courante. Mais aujourd’hui, leur impact sur l’économie réelle, leur capacité à rediriger les flux de capitaux vers des activités durables, sont mis en question. Le soupçon de greenwashing est omniprésent.

Certains universitaires et professionnels repentis en viennent à rejeter en bloc les approches d’investissement s’appuyant sur l’analyse ESG, les décrivant comme un «dangereux placebo» (Tariq Fancy), une activité qui «crée plus de mal que de bien» (Aswath Damodaran), une «illusion verte» (Julien Lefournier) donnant «bonne conscience» (Charles Wyplosz) mais peu d’effets concrets. Dans cette perspective, seule l’action des gouvernements serait capable d’amener les changements dont le monde a besoin, par exemple face à l’urgence climatique. Suite…

Source: Covalence / allnews

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